Avec 2 milliards d'appareils Android et iOS en circulation, de plus en plus de service privilégient désormais leur version mobile. Ainsi, certaines informations se retrouvent uniquement dans des applications, et non plus sur des sites web. En plus d'être peu pratique pour les recherches, cette approche peut devenir une menace pour le business de Google. …
Lire la suite →Quasiment depuis qu’il existe, Internet est arpenté par divers robots qui y côtoient les utilisateurs humains, fréquentant les mêmes sites, empruntant les mêmes tuyaux… À l’heure où les problèmes de congestion se font de plus en plus fréquents, une étude d’Incapsula pourrait donner envie de juguler un peu les ardeurs de tous ces robots…
On sait depuis quelques années déjà que le temps du silicium est compté : après avoir été la star des semi-conducteurs pendant cinquante ans, le silicium approche de plus en plus de ses limites physiques, ce qui est un gros frein à la progression des performances de nos appareils électroniques. Partout dans le monde, les chercheurs s’activent donc à trouver des alternatives. L’une d’elle pourrait provenir de la magnétite.
Depuis qu’ils ont été imaginés, dans les années 70, les ordinateurs quantique font figure de Saint Graal de l’informatique, et ce d’autant plus que l’approche des limites physiques de l’atome rend de plus en plus difficiles les gains de performances d’une génération d’ordinateurs à l’autre. Un Saint Graal qui se précise de plus en plus, et dans lequel Google et la NASA viennent d’investir…
La très forte croissance des marchés de la mobilité (smartphones, tablettes, gadgets en tous genre…) a permis à ces catégories de produits de progresser fortement et rapidement sur de nombreux points. Mais il en est un qui est toujours un peu à la traîne : l’autonomie. Partout dans le monde, des labos travaillent donc d’arrache-pied pour développer de nouvelles technologies de batteries. C’est le cas de l’University Of Southern California, qui vient d’annoncer une avancée dans ce domaine, grâce au silicium.
Alors que les technologies optiques commencent à devenir has-been dans le domaine du stockage, assassinées par la dématérialisation des contenus, la lumière pourrait prochainement retrouver grâce dans l’informatique personnelle au sein même de nos ordinateurs, voir directement dans les puces.
70 milliards. C’est le nombre d’exemplaires auquel a été tiré le livre Regenesis: How Synthetic Biology Will Reinvent Nature and Ourselves in DNA de George Church. Plus de trois fois le nombre total d’exemplaires des deux cents livres les plus populaires de l’histoire de l’humanité. 70 milliards d’exemplaires qui pèsent… 1 petit gramme et tiennent au fond d’un éprouvette. Comment cette prouesse a pu être réalisée ? En stockant le livre sous forme d’ADN.
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